Francisco de Homem Christo, le poussin fasciste de Rachilde

Résumé

Francisco Manuel de Homem Christo est une figure mal connue de la scène européenne de l’entre-deux-guerres. Celui-ci a pourtant défrayé la chronique portugaise et française par ses frasques politiques et journalistiques. Anarchiste, royaliste puis fervent admirateur de Mussolini, Homem Christo fut également rédacteur en chef, éditeur, conférencier… Il fut également un proche de la romancière Rachilde dont il fréquenta le salon au Mercure de France.

Plan

Texte

« Nul n’est prophète dans son pays », c’est sans doute celle qui, de toutes les sentences, illustre le mieux l’existence de Francisco Manuel de Homem Christo. En effet, celui-ci eut, au cours de l’entre-deux-guerres, d’ambitieux projets pour le Portugal puis pour l’Europe du Sud. Il navigua notamment entre la péninsule ibérique, la France et l’Italie pour organiser le Congrès des Nations latines et ainsi contrecarrer la montée du national-socialisme. Si l’on en croit l’hommage posthume que lui rendit Scrive-Loyer en 1928, Homem Christo avait, en effet, « une passion sentimentale pour le Portugal, une passion artistique pour l’Italie et une passion intellectuelle pour la France1 ». Cette passion intellectuelle pour la France transparaît notamment à travers sa relation avec Rachilde qui le prit en affection. Rachilde, c’est le pseudonyme de Marguerite Eymery, romancière scandaleuse de la Belle Époque, auteure de Monsieur Vénus (1884), La Marquise de Sade (1890) et de plus d’une trentaine de titres. C’est également la patronne du Mercure de France, épouse d’Alfred Vallette, fondateur et directeur de la revue ainsi que de la maison d’édition du même nom.

Nous retracerons le parcours de cet homme dont l’ambition le conduisit à successivement embrasser la carrière de conférencier, de journaliste, d’éditeur et d’organisateur de soirées parisiennes. Aussi grande que fut l’énergie qu’il dépensa, Homem Christo ne laissa que peu de traces dans l’histoire de son pays natal, sans doute parce qu’il fut un élément séditieux pour les gouvernements successifs. En France, il ne subsiste que dans les anecdotes, parfois malveillantes, que Paul Léautaud consigna dans son Journal littéraire.

De l’anarchie à la monarchie, de Lisbonne à Paris…

À l’oubli dans lequel est tombé Francisco Manuel de Homem Christo, s’ajoute la confusion provoquée par le fait qu’il porte le même patronyme que son père qui lui survécut. Né en 1892 au Portugal, il décéda en 1928 sur une route italienne dans un étrange accident de voiture. Son père, virulent pamphlétaire, journaliste républicain et fondateur de Povo de Aveiro, naquit en 1860 et mourut en 1943. Ce dernier rédigea dans les années Trente ses Mémoires, sept volumes de Notas da minha vida e do meu tempo. Si l’on s’intéresse aux premières années de l’existence de Homem Christo fils, il semble pourtant difficile de le confondre avec son père qui participa à la première révolution républicaine à Porto. Si l’on en croit J. E. Scrive-Loyer qui semble lui vouer une grande admiration, Homem Christo fils se fit très tôt remarquer par des articles très violents et l’on ne sera pas étonné que, devenu étudiant anarchiste, il se fit expulser de l’université de Coimbra pour avoir refusé de prêter serment à l’Église. Il s’exila d’abord en Espagne afin de militer pour l’anarchiste Ferrer avant de se convertir et de passer sous la bannière monarchiste. Il participa au coup d’État de 1906 pour rétablir Manuel II sur le trône. En 1907, il fut au cœur d’un procès pour avoir accusé le député républicain Costa de lâcheté. Un temps à Paris, il partit, en 1909, donner « officiellement » une série de conférences en Amérique Latine et dans la péninsule ibérique sur le théâtre italien ; en vérité, il dirigea en Espagne un groupuscule de monarchistes dont il avait pris la tête avec notamment Antonio José de Almeida. Ils poussèrent jusqu’à Braga où ils proclamèrent la monarchie. Le coup d’état ayant avorté, il se fixa à Paris. Contrairement à l’Espagne, la France ne peut être considérée comme une terre d’exil. Il serait plus juste de parler de terre d’adoption puisque Homem Christo est francophile et que sa seconde femme, épousée en 1910, est française. Nous n’avons pu découvrir son nom de jeune fille, les rares fois où celle-ci est évoquée, elle est seulement présentée comme Mme Bernadette de Homem Christo. À cette dimension affective, s’ajoute une perspective politique : la position névralgique de Paris lui permettait de suivre l’évolution de la situation lisboète et d’échanger avec l’importante communauté intellectuelle portugaise réfugiée dans la capitale.

C’est à Paris qu’il débuta véritablement sa carrière de journaliste et d’essayiste. L’un des premiers articles où apparaît son nom est une étonnante interview faite par Madeleine Lacombre-Frondoni dans L’Écho du merveilleux d’avril 1910, reprise dans Le Progrès spirite de mai 1910. Homem Christo relatait l’expérience paranormale qu’il fit dans une « Maison hantée au Portugal », expérience à l’origine de sa conversion au catholicisme. Établissant très vite de nombreux contacts dans les milieux politiques et journalistiques, il s’imposa comme l’un des éditorialistes les mieux renseignés sur le Portugal. Il signa dans plusieurs journaux espagnols, italiens, anglais, sud-américains, donna régulièrement des articles à La Croix et L’Éclair. Il travailla à la restauration de la monarchie portugaise, rédigea et diffusa des tracts confisqués par les autorités portugaises. Fort de l’impunité que lui procurait son existence parisienne, il s’en prit en août 1912, au ministre du Portugal en France, João Chagas. Son article, publié dans Le Correspondant où il signait la rubrique « La Question portugaise », fit grand bruit. Le ministre visé exigea son expulsion de France. En 1913, son arrêté d’expulsion pris par le gouvernement français fut définitivement reporté grâce aux démarches entreprises par M. du Mesnil, directeur du Rappel, et M. de Cassagnac, directeur de L’Autorité. Une pétition contre l’exclusion de Homem Christo, reproduite dans Le Gil Blas et signée par de nombreux journalistes français, fut même adressée au président A. Briand. Cet incident sera d’ailleurs l’occasion, pour la presse française de critiquer les diplomates de la jeune république portugaise. Provocation ou insouciance, Homem Christo commença à publier, en 1913, La Contre-révolution, une série de pamphlets dans lequel il relatait son parcours politique et qui surtout contient « des nouvelles sensationnelles sur la bande qui terrorise le Portugal depuis deux ans et qui est la honte de l’Europe civilisée2 ». Est-ce pour se faire oublier ou pour prouver à la France sa reconnaissance qu’il effectua en 1914, un nouveau voyage – propagande oblige en cette veille de guerre mondiale – en Amérique du Sud sous l’égide de l’Association des Amitiés Françaises ? Toujours est-il qu’à son retour, un banquet lui est offert par un groupe d’écrivains et de journalistes français, présidé par Maurice Barrès qui devint un de ses amis.

Alors que le Portugal semble être passé au second plan de ses ambitions, un changement de politique lui permet de revenir, en 1914, dans son pays natal ; il est amnistié pour ses délits politiques. Il en profita pour collaborer aux journaux monarchistes tels que Informação, A Idéia Nova. Non content de ces collaborations, il fonda A Restauração, un titre rapidement interdit à cause de la virulence de ses propos. Ce journal et son directeur furent ainsi tenus responsables d’un fort mouvement royaliste qui participa au renversement du gouvernement. Sous la dictature de Pimenta de Castro, Homem Christo lança, en 1915, A Idéia Nacional qui accéléra l’entrée en guerre du Portugal. La chute de la dictature l’obligea à quitter précipitamment le pays pour se réfugier à Paris ; J. E. Scrive-Loyer précisait qu’il avait dû parcourir « 300 kilomètres en pyjama3 ». S’il était désormais persona non grata au Portugal, la France l’accueillit à nouveau et lui offrit l’occasion d’occuper le devant de la scène politique. En 1916, il siégeait au Comité international de la Fédération des Ligues Nationales anti-germaniques et créait la Ligue Nationale anti-germanique du Portugal dont il occupa les fonctions de secrétaire général. En 1917, le nouveau président portugais, Sidónio Pais, le nomma « Chef de la Mission de Propagande Portugaise en pays amis et alliés ». Il fut très actif, multipliant les articles et les conférences dont une fort remarquée en 1918, « Le Portugal contre l’Allemagne », puisqu’elle rassemblait Maurice Barrès, Jean Richepin, Paul Adam, M. A. de Bettencourt, Ministre du Portugal en France. À la suite de l’assassinat du président Pais, il démissionna de tous ses postes (A. Vallette évoque une demande d’expulsion à laquelle s’opposa le Président Poincaré4) et partit une nouvelle fois en Amérique du Sud pour donner des conférences. À son retour, l’année suivante, la presse le présentait comme un « délégué du parti royaliste portugais à Paris » œuvrant pour le rapprochement du Portugal et de la France. Si l’on en croit l’ouvrage Un ano de política (1920) de António Egas Moniz, qui représenta le Portugal lors du Traité de Rome en 1919, Homem Christo fut un acteur de premier plan de la Conférence de la Paix.

Rencontre avec la « patronne » du Mercure de France

C’est certainement à la fin de la Première Guerre mondiale qu’il se lia avec Rachilde. Dans quelles circonstances se sont-ils rencontrés ? Homem Christo assistait-il aux mardis du Mercure de France qu’elle présidait ? Même si ces réunions hebdomadaires avaient perdu leur faste de la Belle Époque, elles continuaient à attirer jeunes littérateurs et auteurs confirmés. Se mêlaient régulièrement à l’assemblée les contributeurs de la revue comme Philéas Lebesgue, qui signait les « Lettres portugaises », ou encore Xavier de Carvalho, auteur notamment d’une Enquête sur l’influence allemande (1903). Homem Christo vint-il rencontrer ces écrivains ? Malgré sa gloire de romancière sulfureuse qui s’estompait, Rachilde, forte de sa fonction de critique littéraire, continuait d’être courtisée. Elle évoluait au milieu d’une cour de jeunes gens, « ses poussins » comme elle aimait à les appeler, ses « petits messieurs » pour reprendre l’expression de Paul Léautaud. Celui-ci recensait André David, Jean-Joë Lauzach auteur de L’Enquête entre deux slips (1931), le danseur turc Nel Haroun… et Homem Christo. Pour le monde du Mercure de France, ce dernier semblait être un mystère : les hautes fonctions qu’il a occupées pendant la Grande Guerre, son expérience de journaliste, de pamphlétaire, de rédacteur en chef ne furent jamais évoquées… On eut tôt fait de le considérer comme un aventurier ; son physique d’ailleurs n’était pas très engageant, il « [tenait], en effet, par le visage, à la fois du sbire, de l’espion et de l’escroc5 ». Alfred Vallette, l’époux de Rachilde et directeur du Mercure de France, s’était toujours demandé « d’où il venait, ce qu’il avait fait et de quel argent il vivait6 ». Ils auraient également pu se rencontrer par l’intermédiaire de Maurice Barrès qui était un vieil ami de Rachilde, sinon un ancien amant. Il fut une figure majeure du nationalisme français et Homem Christo avait souvent eu l’occasion de le fréquenter lors d’évènements politiques parisiens. À l’instar de ces deux hommes, Rachilde était une germanophobe viscérale, une anti-communiste, qui était alors séduite par la restauration de la grandeur de la France et les idées fascistes. Elle fréquenta d’ailleurs un temps le fondateur du mouvement futuriste, F. T Marinetti. Homem Christo et Rachilde, s’opposaient à toutes les avant-gardes et à toutes les audaces artistiques : si le premier saluait le suicide du poète et écrivain Mário de Sá-Carneiro en 1916, « resultado lógico da anarquia espiritual de sua vida7 », la seconde en était venue aux mains avec Max Ernst et les dadaïstes au cours d’un banquet.

Dès le début des années 20, Rachilde et Homem Christo parurent fort proches ; Paul Léautaud laisse même entendre qu’ils avaient une liaison8. Rachilde avait alors près de 60 ans et Francisco 32 ans… Leur nom apparut, en 1922, dans l’équipe de rédaction de La Revue de l’Amérique latine aux côtés de celui d’Anna de Noailles, de M. Barrès, de Ch. Maurras, A. Reyes… Rachilde lui dédicaça son roman Le Grand Saigneur, paru cette même année et qui relate le goût du sang d’un aristocrate, héros de 14-18. Ce roman commença à paraître en feuilleton en 1921. Non contente de lui dédicacer un roman, Rachilde collabora avec celui-ci à deux titres. Le parc du mystère, publié en 1923, est constitué d’un ensemble de lettres échangées entre Rachilde et Homem Christo ; ce dernier y relatait son expérience paranormale et sa conversion au catholicisme qui s’en suivit. L’année suivante était publié Au seuil de l’enfer (1924), un recueil de nouvelles. Rachilde alla même jusqu’à demander la Croix pour Homem Christo, mais celle-ci lui fut refusée. Paul Léautaud en donna une raison possible :

João Chagas, représentant du Portugal à Paris, était l’amant de Mme Z. Homem Christo également. Un jour, ils se trouvent tous les deux en face l’un de l’autre chez la dame. Homem Christo gifle João Chagas. Quand on demanda l’avis pour la croix, c’est à João Chagas qu’on dut s’adresser. Il répondit non, naturellement9.

Même après la mort de João Chagas, il n’obtint jamais cette décoration. Quelles que soient les circonstances de cette rencontre, celle-ci est cependant à mettre en relation avec la librairie Fast qu’il fonda, rue du Palais-Royal, à la fin de la guerre. Il y adjoignit rapidement une maison d’édition. Sans doute bénéficia-t-il des conseils, du soutien de Rachilde et de son époux pour réaliser ce projet. En 1920, il lança Les Amis des lettres françaises sous la double présidence de Rachilde et de M. Rosny aîné : tous les ans, ce cercle décernait un prix littéraire. Il avait la double vocation de faire connaître les jeunes talents au moyen de lectures mensuelles et de recevoir les intellectuels étrangers de passage à Paris. Ce fut, semble-t-il, le seul échec de sa carrière. Aussi fasciné soit-il par le cosmopolitisme, le Tout-Paris va rapidement déserter ces soirées. Paul Léautaud relatait cette anecdote qui explique sans doute la distance que vont prendre Rachilde et son époux. Ainsi, en février 1922, il consignait dans son journal :

Il y a aussi l’histoire d’un banquet que veut lui offrir Homem-Christo, sous la présidence de Régnier. Elle dit qu’elle sort d’en prendre. Homem-Christo a déjà eu l’idée de lui faire présider, vers la fin de décembre, un des banquets qu’il donne chez lui. D’habitude, il y a 200 personnes. Cette fois-là, il y en avait 25 ou 30, c’est Rachilde elle-même qui le disait ce matin. Elle ne veut pas être ridicule une nouvelle fois10.

Homem Christo « a toujours eu le monde officiel étranger. Il a eu Poincaré comme Président à la cérémonie organisé par lui à la Sorbonne11 »… Admirable organisateur de soirées mondaines aux dires d’Alfred Vallette, il ne poursuivit pas moins ses activités de journaliste politique et de conférencier. Ainsi entretint-il, au Cercle de la Renaissance, le public de février 1922, des Grandes faiblesses de la propagande française à l’étranger. Sa signature se retrouve dans des journaux tels que La Revue française, Comœdia, L’Écho de Paris ou encore Le Mercure de France et Septentrion. Revue des marches du Nord dans laquelle il exposa, en décembre 1927, son grand rêve : le Congrès des Nations Latines. Il avait déjà obtenu l’adhésion de la France, de la Belgique, de la Roumanie et de l’Italie. Ce projet ambitieux, déjà présent dans ses conférences portant sur le « génie méditerranéen », devait se faire, non plus sous l’égide du Portugal qui avait pourtant donné son aval, mais de l’Italie. C’est désormais à Mussolini qu’allait toute sa ferveur politique. Son enthousiasme pour la doctrine fasciste se retrouve dans les œuvres qu’il édite. À côté de titres comme Une actrice française aux États-Unis (1920) de Yorska, Le Féminisme au temps de la Fronde par Alice de Prayer (1922), Le Calendrier du plaisir de G.-A Masson (1924), les éditions Fast proposent Les Portes flambeaux (1918) qui est une série de portraits d’hommes illustres (Clémenceau, Barrès, Foch, A. France, P. Adam), Le Cinéma des jours, titre sous lequel il a rassemblé ses articles publiés dans O Dia et A Situação pendant la Première Guerre mondiale. Son essai Mussolini, bâtisseur d’avenir parut en 1925. Ce titre, ainsi que des articles dans Informação, déclenchèrent une vive polémique puisqu’il s’en prenait une nouvelle fois au gouvernement portugais et notamment à G. Soares, le chef du corps expéditionnaire. Il fut à nouveau banni, en août 1926, de son pays natal. Ce n’est pas la France qui l’accueillit mais l’Italie. Il y publia un essai en six volumes intitulé L’État fasciste.

Rome – 13 juin. – L’écrivain portugais Homem Christo voyageait en automobile, venait de Paris en compagnie de son fils Guido et d’un chauffeur. Homem Christo conduisait lui-même la voiture lorsqu’à six kilomètres de Gallese, par suite d’un mauvais fonctionnement des freins, la voiture a été précipitée dans un ravin de sept mètres de profondeur. Homem Christo a été tué sur le coup. Le chauffeur a été grièvement blessé à la tête. M. Guido est indemne12.

C’est ainsi que décédait, à l’âge de 36 ans, cet intellectuel et homme politique portugais dont les démêlés avec les différents gouvernements de son pays ont défrayé la presse française. Ses obsèques eurent lieu le 15 juin 1928 : étaient présents les ministres portugais auprès du Vatican et du Quirinal, des représentants du Fascio ; une couronne rouge envoyée par Mussolini fut remarquée. Rachilde et ceux qui gravitaient autour du Mercure de France n’ont jamais réalisé qui ils avaient côtoyé. Avec cette virulence qui lui était habituelle, Rachilde résuma ainsi sa carrière : « Il était à la solde de Mussolini. […] Lui au volant ? Son accident ne m’étonne pas. Un fou, dans sa voiture. Cet aventurier devait finir comme cela13 ».

Bibliographie

Hawthorne, Melanie, Rachilde and French Women's Authorship: From Decadence to Modernism, Lincoln, University of Nebraska Press, 2001.

Homem de Christo filho, La Contre-Révolution. Série de pamphlets, n° 1, février 1913.

Léautaud, Paul, Journal littéraire, T1 & T2, Mercure de France, 1992.

Rivas, Pierre, Encontro entre literaturas. França-Brasil-Portugal, São Paulo, Ed. Hucitec, 1995, p. 109-112.

Scrive-Loyer, J. E., « La Vie mouvementée de F. de Homem-Christo », Septentrion. Revue des marches du Nord, juillet 1928.

S.n., « Accident mortel d’un écrivain portugais », L’Ouest-Éclair, 14 juin 1928.

Notes

1  Scrive-Loyer, J. E., « La Vie mouvementée de F. de Homem-Christo », Septentrion. Revue des marches du Nord, juillet 1928, p. 293-294. Retour au texte

2 Homem de Christo filho, La Contre-Révolution. Série de pamphlets, n° 1, février 1913. Retour au texte

3 Scrive-Loyer, J. E., op. cit., p. 290. Retour au texte

4 Voir Léautaud, Paul, op. cit., T. 2, jeudi 18 octobre 1928, p. 87. Retour au texte

5 Léautaud, Paul, op. cit., T. 1, lundi 28 décembre 1925, p. 1684. Retour au texte

6 Ibid., T. 2, jeudi 18 octobre 1928, p. 86. Retour au texte

7 Rivas, Pierre, Encontro entre literaturas. França-Brasil-Portugal, São Paulo, Ed. Hucitec, 1995, p. 110. Retour au texte

8 Léautaud, Paul, op. cit., T. 1, jeudi 17 décembre 1925, p. 1680. Retour au texte

9 Ibid., T. 2, jeudi 18 octobre 1928, p. 86. Retour au texte

10 Ibid., T. 1, samedi 11 février 1922, p. 1175. Retour au texte

11 Ibid., T. 2, jeudi 18 octobre 1928, p. 87. Retour au texte

12 S.n., « Accident mortel d’un écrivain portugais », L’Ouest-Éclair, 14 juin 1928. Retour au texte

13 Léautaud, Paul, op. cit., T. 2, 15 juin 1928, p. 2274. Retour au texte

Citer cet article

Référence électronique

Nelly Sanchez, « Francisco de Homem Christo, le poussin fasciste de Rachilde », Reflexos [En ligne], 4 | 2019, mis en ligne le 03 mai 2022, consulté le 19 avril 2024. URL : http://interfas.univ-tlse2.fr/reflexos/410

Auteur

Nelly Sanchez

Chercheuse

Université Michel de Montaigne-Bordeaux 3

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